Sanctions on Chinese Paramilitary Group Over Uyghur Human Rights Abuses
Under the Global Magnitsky Act, the U.S. Department of Treasury’s Office Assets Control (OFAC) has sanctioned four CCP officials and a Chinese entity, the Xinjiang Public Security Bureau, for human rights abuses against Uyghurs. After sanctioning the Chinese entity and officials, the U.S. sanctioned a Chinese paramilitary organization as well as the organization's commander Peng Jiarui and a former senior official Sun Jinlong this week. The name of the organization is the Xinjiang Production and Construction Corps (XPCC). This tool has been used by the Chinese Communist Party since the 1950s to send soldiers to East Turkistan as pioneers and colonizers. Not only does the XPCC have control on substantial portions of the economy of East Turkistan, but also on important security functions of the region. The U.S. accuses the XPCC of playing a key role in the detention and repression of Uyghurs. We urge the Canadian government to start taking action in sanctioning Chinese entities and officials directly or partially linked to Uyghur human rights abuses.
Un groupe paramilitaire chinois sanctionné pour violations des droits humains des Ouïghours
Conformément à la loi générale Magnitski, l’ « Office of Foreign Assets Control » (OFAC) des État-Unis a puni quatre membres du PCC ainsi que le bureau de la sécurité publique de Xinjiang pour leurs violations des droits humains des Ouïghours. Après la réprobation, cette semaine, les États-Unis ont aussi sanctionné un groupe paramilitaire chinois ainsi que son commandant Peng Jiarui et Sun Jinlong, un ancien haut fonctionnaire. Le groupe paramilitaire porte le nom de Corps de production et de construction du Xinjiang (CPCX). Ce dernier est utilisé par le Parti communiste chinois (PCC) depuis les années 1950 pour envoyer des soldats au Turkistan oriental comme pionniers et comme colonisateurs. En plus de contrôler une partie importante de l’économie du Turkistan oriental, le CPCX exerce une influence importante sur la sécurité de la région. Les États-Unis accusent le CPCX de jouer un rôle central dans la