Disney Complicit in Uyghur Genocide

The Walt Disney Company’s live-action remake of the movie Mulan had already been receiving backlash prior to its release due to the main actress supporting the Hong Kong police and their crackdowns on the pro-democracy protesters. However, after the movie’s release on Disney+, it is receiving even more criticism. In the final credits, Disney offers their thanks to eight government entities in East Turkistan, otherwise known as “Xinjiang”, where both concentration camps and forced labour camps are present and documented. Moreover, they also thank the Chinese government’s propaganda department in East Turkistan. It was known prior to the filming of the movie in 2018 that China’s security and propaganda authorities such as the Turpan Municipal Bureau of Public Security and the Publicity Department of CPC Xinjiang Uyghur Autonomous Region Committee are deeply involved in the human rights violations of Uyghurs in East Turkistan. Therefore, Disney filming Mulan in East Turkistan where the majority of the Chinese government’s repression, mass arbitrary detention, forced labour, forced sterilization, organ harvesting and other human rights violations against Uyghurs is happening offers legitimacy to the genocide. Disney’s actions show the need for government intervention to rein in corporations who choose to continue business as usual with foreign entities that are directly involved in human rights violations and genocide. 

We call for the Canadian government to introduce legislation to address foreign influence in order to hold companies, such as Walt Disney, accountable for their actions. Already, Canada’s allies in The Five Eyes like Australia and the U.S have passed foreign interference and transparency legislation, while New Zealand and the U.K are considering passing similar legislation. 

Source: https://www.theguardian.com/film/2020/sep/07/disney-remake-of-mulan-criticised-for-filming-in-xinjiang 

Disney complice du génocide des Ouïghours

La nouvelle version live-action  du film Mulan  de la Walt Disney Company a suscité de fortes réactions avant sa sortie suite à des propos de l’actrice principale qui a déclaré son appui envers les mesures répressives de la police de Hong Kong sur les manifestants pro-démocratie. Cependant, après la sortie du film sur Disney+, le film se voit recevoir plus de critiques. Dans le générique de fin, Disney remercie huit instances gouvernementales situées au Turkistan oriental, aussi connu sous le nom de «Xinjiang», où l’on a prouvé la présence de camps de concentration et de camps de travail forcé. De plus, ils remercient aussi le département de la propagande du gouvernement chinois au Turkistan oriental. Avant le début du tournage du film en 2018, il était déjà connu que les autorités de sécurité et de propagande chinoises comme le Turpan Municipal Bureau of Public Security et le Publicity Department of CPC Xinjiang Uyghur Autonomous Region Committee participent activement aux atteintes aux droits humains des Ouïghours au Turkistan oriental.  Par conséquent, la décision de Disney de tourner Mulan dans cette région, où la majorité de la répression, des emprisonnements arbitraires de masse, du travail forcé, des stérilisations forcées, du trafic d’organes et d’autres atteintes aux droits humains des Ouïghours ont lieu, montre un appui au génocide. Les actions de Disney montrent clairement le besoin d’intervention gouvernementale pour freiner les entreprises qui choisissent de continuer, comme si de rien était, leurs opérations avec des entités étrangères directement impliquées dans les atteintes aux droits humains et le génocide.

Nous demandons au gouvernement canadien de présenter un projet de loi pour lutter contre l’influence étrangère et tenir les compagnies comme Walt Disney responsables de leurs actions. Les alliés du Canada du Groupe des cinq comme l’Australie et les États-Unis ont déjà passé des lois sur l’ingérence étrangère et la transparence, alors que le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande envisagent faire de même. 

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